Toutes les douleurs et les souffrances que tu subis sont le résultat d'un jugement de ta part, suivi d'une condamnation. Tu accables ton organisme de tes idées arrêtées et renies la cause de tes maux.
Ton corps est la synthèse de tes pensées. Si tu as des idées contradictoires, il ne peut pas fonctionner correctement. Le mécanisme de la projection ne protège pas ton corps de tes idées, car tu t'y identifies.
N'importe quel organe guérit en quelques jours si tu arrêtes de le bombarder de ta condamnation. Quand tu condamnes quelqu'un, tu te condamnes en même temps, et cela est visible dans ton corps.
L'autoguérison consiste à lâcher tout jugement qui fait partie de ton système de pensée. Le jugement est un comportement de non-amour envers toi-même et cela entraîne des conséquences.
Pour guérir, il faut harmoniser ses pensées et les rattacher à l'amour inconditionnel. Tu peux sentir tes idées contradictoires dans ta tête si tu y diriges ton attention. Tu peux parler à ces idées, leur dire que tu les aimes, exactement comme tu fais avec tes plantes lorsque tu désires qu'elles s'épanouissent.
Tes idées dysharmoniques sont situées dans la partie inférieure de ton mental. Elles perturbent ton cerveau. Lorsque l'esprit, emprisonné dans cette partie, se sent aimé, il lâchera la résistance et laissera l'énergie du mental supérieur circuler à travers l'intellect, qui est ton esprit conscient. Alors, la santé regagnera ton corps.
Tout ce qui ne va pas dans ta vie est issu de ce phénomène, des idées que tu adoptes et qui n'expriment pas l'harmonie de l'amour désintéressé.
Lorsque le mental inférieur se reliera au mental supérieur, la dualité disparaîtra et tu vivras en tant qu'individu dans le monde de l'unité. L'inconscient rejoindra le conscient, car il n'y aura plus de tabou.
Tu prendras conscience que tu es dans le monde des idées et que c'est toi qui les produis. Ton mental supérieur est relié directement à ton âme. Les idées seront vivantes parce qu'elles seront conçues à partir de l'amour universel, la source de la vie.
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